Je pollue, il pollue, nous polluons mais avec un V8 de 1959, ça tousse !!!!
À l’aise à 3 personnes à l’avant et autant à l’arrière, sans se frotter. C’est le char. On écoute et on attend beaucoup du moteur et quand ça ronronne, on s’exprime en parlant un peu plus fort. On ne roule pas vite et c’est parfait pour prolonger le plaiisiiirrrr.
Le contact facile du Cubain de Santiago nous facilite notre recherche de la première casa qui nous va bien. Il nous aime bien et sera au pied de la casa, tous les jours pour un conseil et un service.
Le vrai utile rabatteur qui demande des moritos pour lui et du lait pour ses enfants. On s’intègre aux coutumes locales.
Dans les rues du centre ville, le porche et l ‘escalier de la casa se transforme en petite boutique en tous genres…
Nous sommes au pays de la salsa qui se joue sur les places et dans tous les restaurants qui acceptent le guitariste en solo où le groupe qui à son emplacement réservé et alors, et alors, le personnel est aussitôt dans le rythme, les hanches sont dévissées, le gilet est ouvert et la musica entre dans les veines avec un morito supplémentaire.
Les luminois ont les hanches raides….et apprennent en position assise. C’est sage, non !!
Gourbil Elina
16 février 2017 at 18 h 14 min
Salut catherine et Philippe
D’après les images que j’ai vue Philippe est très content des voitures et Cuba est très pauvre mais profite quand même
Bon voyage à plus
Elina
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cathetphilenvoyages
17 février 2017 at 9 h 11 min
Coucou Elina , merci pour ton commentaire, passe de bonne vacances , bisous taty 😘🌴
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Mélanie
16 février 2017 at 18 h 15 min
J’espère au moins que vous avez dansé ???
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GOURBIL Pascale
16 février 2017 at 21 h 31 min
Ce peuple CUBAIN a le rythme dans la peau… tantôt musiciens tantôt danseurs… vos photos nous plongent dans une autre dimension temporelle. ??? étonnant ???
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