Les luminois sont illuminés.
Un désigner japonais a développée une lumineuse boutique en l’appelent ainsi.
C’est lumineux, non !!!
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Lumine à Singapour
SINGAPOUR
C’est la ville-état-île.
Construite en une génération avec une finance mondiale très active. Ici, règne un parfum d’eldorado où le commerce est roi.
L’envie d’avoir envie, c’est là.
Les architectes ont signés les plus beaux édifices de l’asie.
Les chinois représentent 70% de la population.Ils ont laissé des quartiers et quelques temples bouddhistes très intéressants à visiter.
Et même avec des béquilles, on a aimé cette ville.
Komodo et RINCA
Visite prudente, accompagnée d’un gardien et sa fourche pour 2 touristes. Tout va bien. Ils sont une dizaine devant la cuisine des gardiens attendant leurs pitances.
On les regarde, bien sur…et 1 heure après, on file notre chemin, pour remonter sur le bateau.
Komodo est déconseillé en Mars, les varengs se cachent pour la reproduction.
Waerebo
C’est le plus beau village traditionnel et pour y accéder, il faut entreprendre une éprouvante marche de 10 km.
Le chemin commence dans la plaine à 35°, puis çà monte, çà monte, toujours…
Dans la forêt équatoriale, la température baisse un peu et nous croisons les arbres d’Avatar
La beauté nous donne des forces.
A l’arrivée, sur un promontoire, on découvre le village ; 9 huttes coniques recouvertes de chaumes noires et disposées en cercle.
D’ici, on voit tout sans être vu des gens de la plaine.
L’implantation dans ce lieu reculé de tout était pour se protéger de l’envahisseur.
(On y voit une similitude avec le site du Mâchu Pichu du Pérou.)
Thé et paroles de bienvenues (pas de photos, l’instant est solennel. Catherine doit ranger son matériel)
Nos yeux ne discernent pas tout dans cette habitation noircie par le temps et la fumée.
A l’extérieur, le chef acceptera la pose photo. Au centre du village, le promontoire circulaire est le lieu sacré des sacrifices de buffles pour obtenir la grâce des dieux.
Ici, vit 3 générations;
Les petits enfants qui à l’âge de la scolarité, vont dans la plaine pour la semaine et retourne au village le WE
Les parents qui travaillent aux rizières (on pense qu’ils s’absentent pour la semaine)
Les anciens qui veulent garder leurs traditions. Ils ont acceptés l’eau et l’électricité, mais refusé le bétonnage du chemin d’accès.
Rizières en toiles d’araignées
A l’origine un chef de clan à imaginé la culture des rizières en toile d’araignée pour une juste répartition des récoltes pour 9 familles .
L’effet est splendide et unique.
Le rendement ne serait pas bon, faute à une irrigation difficile.
Villages de BENA et de TOLO LELA
BENA et TOLO LELA
2 villages traditionnels de l’ethnie Ngada , l’un accessible en voiture (c’est confortable) et l’autre , nous l’atteindrons après 1H30 de marche dans une forêt de bambous.
Implantés sur un flanc d’une montagne boisée de jungle, avec un panorama extraordinaire.
Ce sont des constructions en bois recouvertes de chaumes avec beaucoup de trophées de cornes de buffles et de sculptures symbolisant la fertilité
D’autres plus petites au centre pour commémorer les morts.
Au faîtage, il y a des sculptures qui sont des trophées des guerres tribales
La modernité entraîne les jeunes à l’extérieur et ce sont les anciens qui nous présentent leurs coutumes d’autrefois.
L’accueil sur le balcon est prudent et Miki fait des donations à chacune de visites.
À quelques ouvertures de portes, j’entrevoie la lumière et la télé
Les temps changent….
KELIMUTU
Départ à 5h du matin, en voiture (c’est confortable) puis petite marche d’une heure pour arriver au sommet. Pas de nuage, quelle chance, il y a 3 lacs dans le cratère du volcan qui changent de couleurs suivant la météo. Ce serait dû à la dissolution des minéraux mais pour les locaux, c’est dans ces eaux que reposent les âmes des défunts.
On croise Kler et David et leurs 3 enfants, des bretons, tour mondiste, voyageurs heureux et positifs.